Frédéric Dion , aventurier et conférencier se prépare par une fret sur Mont Logan, sur le Yukon. Frédéric est un aventurier expérimenté sur un quantité de expéditions à son actif, il n’avait toutefois encore une fois jamais mis les orteils en Antarctique. Ainsi, par braver tous les obstacles qui ont parsemé sa rue — froid excessif, crevasses, vents violents, bris de matériel et isolement — il a fallu à l’aventurier une grande préparation corporel et psychologique. Sa bravoure, sa débrouillardise et s'ajuste le supplémentaire étroitement goût du dépassement incarnent à surprise les valeurs du scoutisme. Désormais de encore dans le consolation de leurs foyers respectifs, ils pourraient admettent que l’expérience, fort enrichissante, n’a néanmoins pas été de tout détente; le doute s’est typiquement invité dans l’expédition. À un moment, Frédéric Dion était satisfait que ses deux compatriotes, qui s’étaient réfugiés sur le même radeau artisanal, avaient péri collectivement dans les eaux tumultueuses d'une rivière Rio Grande qu’ils tentaient alors de se produire. Durant cette expédition d’une durée de 50 jours, le trio tentera d’atteindre le centre du continent situé sur le Brésil. Pour ce aider à faire, ils devront passer à travers le désert d’Atacama sur le Chili, la jungle et probablement le plus grand désert de sel au monde, positionné en Bolivie. Ils parcourront cette distance à l’aide, notamment, de vélos et d’un radeau construit sur place. Rappelons que le problème que s’est lancé Frédéric Dion sert d’abord et avant tout à amasser des fonds par l’organisme Opération Enfants Soleil, organisme pour lequel il s’implique depuis 2009. Dans le corps de cette expédition, l’aventurier espère accumuler 5000$ par les enfants victimes. «L’unique certitude qui éclaire mon esprit je dois manger! Il a développé une expérience unique pour vous permettre de comprendre vos défis. Plus tôt, le quinzième décembre, Frédéric Dion est tourné le primaire humain à réaliser le centre de l’Antarctique en solitaire ! Pour ce aider à faire, il est parti d’une fondation russe située en Antarctique et il a franchi km en skis à traction. Cela implique qu’il se déplaçait sur des skis tout ça en étant tiré par des cerfs-volants. Il a vérité du scoutisme durant huit ans au cours de sa jeunesse et la passion ne l’a en aucun cas quitté. «Ce que je veux faire glisser de ces périples-là, c’est de à réellement vivre le seconde actuel, l’intensité de chaque instant. Pour moi, c’est en plus la liberté d’aller sur le bout de mes rêves», conclut le Montcarmelois.